Cenon-sur-Vienne

commune française du département de la Vienne

Cenon-sur-Vienne est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans la banlieue sud de Châtellerault, dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Cenon-sur-Vienne
Cenon-sur-Vienne
Place centrale avec mairie et poste.
Image illustrative de l’article Cenon-sur-Vienne
Logo
Administration
PaysDrapeau de la France France
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementVienne
ArrondissementChâtellerault
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Odile Landreau
2020-2026
Code postal86530
Code commune86046
Démographie
GentiléCenonais
Population
municipale
1 701 hab. (2021 en diminution de 6,07 % par rapport à 2015)
Densité198 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 46′ 32″ nord, 0° 32′ 15″ est
AltitudeMin. 47 m
Max. 105 m
Superficie8,60 km2
TypeCommune rurale
Unité urbaineChâtellerault
(banlieue)
Aire d'attractionChâtellerault
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Chauvigny
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
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Cenon-sur-Vienne
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Cenon-sur-Vienne
Liens
Site webhttp://www.cenon-sur-vienne.fr/

Ses habitants sont appelés les Cenonais[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Cenon-sur-Vienne est située au confluent de la Vienne et du Clain.

Au nord du territoire de la commune, le bourg et ses activités se développe entre les deux rivières, au plus proche du confluent (situé au bout du parc de Forclan), alors qu'au sud prennent place divers hameaux et lieux-dits éparpillés entre les terres agricoles et sur les reliefs peu prononcés de la vallée de la Vienne.

Sur la rive droite de la Vienne se trouve le quartier des Sources, siège d'un important ensemble pavillonnaire et d'équipements sportifs (terrain de foot, gymnase et courts de tennis).

Le Clain est franchi par le pont de Molé et la Vienne par l'ancien pont du tramway.

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

La région de Cenon-sur-Vienne présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[2] :

  • pour 81 % de calcaire dans les vallées et les terrasses alluviales ;
  • pour 6 % de calcaire sablonneux sur les collines et dans les dépressions sableuses des bordures du Bassin parisien ;
  • pour 4 % de champagne ou aubues (ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) sur les autres collines ;
  • pour 9 % par l'agglomération.

En 2006, 76 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 7,5 % par des forêts et des milieux semi-naturels, 5,6 % pour les surfaces en eau et 11,1 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[3]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés, même résiduelle, sur le territoire communal permet d'offrir des conditions favorables à l'accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides… constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

Il y a une carrière recensée sur le territoire de la commune[4].

Hydrographie modifier

La commune est traversée par 3,5 km de cours d'eau dont les principaux sont la Vienne sur une longueur de 3,3 km et la Clain sur une longueur de 0,2 km.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lésigny à 19 km à vol d'oiseau[8], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 743,3 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Cenon-sur-Vienne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].Elle appartient à l'unité urbaine de Châtellerault, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[15] et 40 721 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), zones agricoles hétérogènes (19,2 %), zones urbanisées (17,8 %), forêts (7,6 %), eaux continentales[Note 3] (5,6 %), prairies (3,7 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Cenon-sur-Vienne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels modifier

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Châtellerault, regroupant 17 communes concernées par un risque de débordement de la Vienne et du Clain. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs pour la Vienne sont les crues de février 1698 (1 670 m3/s à Châtellerault), de juillet 1792 (1 520 m3/s), de mars 1913 (1 500 m3/s), de décembre 1944 (1 510 m3/s) et de janvier 1962 (1 500 m3/s). Les crues historiques du Clain sont celles de 1873 (330 m3/s à Poitiers) et de décembre 1982 (330 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[23],[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999 et 2010[25],[21]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vienne "médiane" - Section Chauvigny/Cenon-sur-Vienne », approuvé le puis par le PPRI « Vienne Communauté d’Agglomération de Grand Châtellerault (CAGC) », prescrit le , pour ce qui concerne les débordements de la Vienne, et par le PPRI « Clain aval section Vouneuil-sur-Vienne / Châtellerault », prescrit le , pour les crues du Clain[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cenon-sur-Vienne.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[30].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et de Vassivière dans la Creuse, des ouvrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[32].

Toponymie modifier

Le nom de la ville proviendrait de Senomagos, dérivant du gaulois senos qui signifie vieux, qu'on retrouve dans le nom de la tribu gauloise des Sénons, et "magos" signifiant champ ou marché, donc littéralement: "le vieux marché". Au VIIe siècle, le nom du bourg est Senomus[33].

Histoire modifier

Site archéologique du Vieux-Poitiers.

En partie sur le territoire de la commune (avec celui de Naintré) se situe le site archéologique du Vieux-Poitiers[34], dont les fouilles ont révélé l'existence de l'importante cité gallo-romaine de Briva — puis Vieux-Poitiers (Vetus Pictavis) après 742 et le partage du royaume de Charles Martel au profit de ses deux fils Carloman et Pépin le Bref — établie le long d'une ancienne voie traversant le territoire des Pictons.

Le pont qui sert aujourd'hui encore à franchir la Vienne a été construit en 1912-1913, spécialement pour le tramway d'intérêt local des Voies Ferrées Économiques du Poitou (VFEP) qui reliait Châtellerault à Chauvigny et Bouresse dans les années 1910-1935[35].

Le pont sur la Vienne.

En 1939, l’usine Rocher, spécialisée dans la coutellerie, emploie 800 personnes[36].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[37]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
1971 ?1977Marcel Ribbe  
19772001Michel GaudineauPS1er vice-président de la communauté d'agglomération du Pays Châtelleraudais
mars 2001mai 2020Jean-Claude BonnetPS 
mai 2020En coursOdile Landreau  
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives modifier

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics modifier

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Jumelages modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 1 701 habitants[Note 6], en diminution de 6,07 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
243264278254261291391452480
185618611866187218761881188618911896
510529547544590606612668668
190119061911192119261931193619461954
640595585535512503533659784
196219681975198219901999200420062009
8408379631 2401 6201 9001 8431 8221 822
201420192021------
1 8271 7371 701------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, la densité de population de la commune était de 212 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

La commune appartient à une zone de faible dynamisme démographique qui impacte une partie des membres de la communauté d’agglomération du pays châtelleraudais. L’évolution moyenne annuelle a été, de 1999 à 2006, de 0,90% contre 1,32% pour la communauté d’agglomération de Poitiers. Ceci s’explique par la crise économique qui touche le secteur industriel très représenté dans la communauté d’agglomération du pays châtelleraudais[42].

Économie modifier

Agriculture modifier

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[43], il n'y a plus que cinq exploitations agricoles en 2010 contre 6 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté et sont passées de 921 hectares en 2000 à 1 071 hectares en 2010. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[réf. nécessaire].

55 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre, orges et maïs), 19 % pour les oléagineux et 11 % pour le fourrage[43].

Industrie modifier

La commune accueille les deux unités de conception et de production du fabricant de matériel de manutention et de magasinage Fenwick-Linde (groupe Kion), spécialisé dans la fabrication de transpalettes, gerbeurs, préparateurs de commandes et autres tracteurs. Le site emploie environ 550 salariés sur une surface de 32 700 m2[44].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine civil et religieux modifier

Patrimoine naturel modifier

  • Selon l'inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[50], il y a deux arbres remarquables sur la commune qui sont un cyprès chauve situé dans le parc du château des Sources et un séquoia géant situé dans la parc public de l'école Marcel-Ribbe.
  • La vallée de la Vienne couvrant moins de 1 % du territoire est géré par le conservatoire d'espaces naturels de Poitou-Charentes.
  • Le parc de Forclan, une ancienne prairie inondable a été aménagée en parc de loisirs avec aires de jeux et de fitness et des pontons pour les pêcheurs[51].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Robert Thuillier (1910-2004), photographe, inventeur du diaporama, fondateur du photo-club de Cenon.

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 15/09/2009.
  2. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  3. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
  4. .BRGM, Observatoire des Matériaux, mai 2013
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Orthodromie entre Cenon-sur-Vienne et Lésigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Lesigny » (commune de Lésigny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Lesigny » (commune de Lésigny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Châtellerault », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Cenon-sur-Vienne », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Châtellerault », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  24. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  26. « Les plans de prévention des risques naturels (PPRN) dans la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cenon-sur-Vienne », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  31. Article R214-112 du code de l’environnement
  32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  33. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  34. Site "Vieux-Poitiers, une agglomération gallo-romaine de la cité des Pictons" Consulté le 14/05/2012.
  35. "Les Voies Ferrées Économiques du Poitou (V.F.E.P.), Ligne de Châtellerault à Chauvigny et Bouresse" sur le site de l'association de modélisme ferroviaire FerroVienne Modélisme Consulté le 14/05/2012.
  36. Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon : Horvath, 1993. 264 pages. (ISBN 2-7171-0838-6), p. 7.
  37. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10/05/2008
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic – novembre 2009
  43. a et b Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  44. Le Groupe Fenwick en quelques chiffres Consulté le 14/05/2012.
  45. Voir une photo de 1928 sur le site Vieux-Poitiers et dans l'article La voie romaine Poitiers-Tours-Le Mans.
    Cf. François Eygun, « Une borne milliaire d'Hadrien, trouvée à Cenon », dans Bulletins de la Société des antiquaires de l'Ouest, 3e série, t. 8, 1928, p. 136-138 (découverte de CIL XVII-2, 441) (en ligne).
  46. « Borne milliaire romaine », notice no PA00105373, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Cf. :
    * Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 435 à 444 p. 161-163 (partiellement en ligne).
    * François Eygun, « Poitou-Charentes », dans Gallia, 27 fasc. 2, 1969, p. 278 (découverte de CIL XVII-2, 439 et 439a) (en ligne).
  48. François Eygun, « Poitou-Charentes », dans Gallia, 27 fasc. 2, 1969, p. 278 (en ligne).
  49. Voir le site de la mairie.
  50. Poitou-Charentes Nature, 2000
  51. (fr)« Forclan: une prairie inondable avant un parc », (consulté le ).